Amis lecteur, nous avons cherché les origines de la colonne : « Le poirier, la colonne et l'apprentissage de la sagesse » puis nous avons compris que la colonne est un moyen de passer « de la transmission à l'élévation ».
Nous savons donc que la colonne ne porte pas, ne supporte pas. Elle est le passage des forces, des énergies, un lien entre des mondes. Nous savons aussi qu’elle est l’image de l’élévation du geste et de la pensée : « Mieux que mon père, mieux que mon maître ».
Alors, que reste-t-il à dire ? Allons…et le mystère de la création dans tout cela !
Notre colonne en image est, cette fois-ci, celle de l’imagination et de la création : le génie artistique est là, sous forme d’un tutu ; l’esprit pensant est peut-être dans le livre, celui des légendes ; le ciel, symbole de la constance du temps qui passe, et le cadre de vie des hommes, créé par l’homme et plus temporel, sont floutés, virtualisés par le numérique photographiant. Même le soleil électrique est lointain, et l’homme n’est qu’ombre ou silhouette, petit, si petit eu égard à la puissance de la colonne, seule véritable force de cette image… mais colonne de légende, peut-être.
Le doigt du tripoteur efface la main du bâtisseur
L’esprit du XXIe siècle n’est pas très émerveillé par les prouesses de nos ancêtres, pères ou pairs. Nous naissons de plus en plus mal éveillés, avec l’index comme substitut de (Lire la suite...)
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